Le monde change à une vitesse telle que le droit, qui cherche tant bien que mal à s'adapter aux nouvelles technologies et aux nouvelles pratiques, est souvent inadapté.
C'est le sentiment qui se dégage du vote de la loi HADOPI II.
Encadrer les nouvelles pratiques est une nécessité, sauf à laisser l'économie dicter sa loi et faire finalement pâtir les plus faibles (notamment les jeunes auteurs et les jeunes artistes) d'un système qui bénéficie à un bon nombre de prestataires et, parmi eux, aux sociétés (souvent florissantes) qui exploitent les plateformes d'échange et de téléchargement. Il s'agit d'une question très complexe qu'il convient de ne pas caricaturer comme c'est souvent le cas dans la presse, même spécialisée.
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